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Originaire du quartier Sénéchal, Monsieur Georges Casimir Olière passe sa scolarité à Marigot jusqu’en classe de 4ème Il poursuit ses études au lycée Professionnel du Lorrain.
Il monte son entreprise « La douce exotique » en 2011 suivant les traces de son père exploitant agricole. Son exploitation se trouve à Marigot à l’habitation Crassous.
Né à Marigot le 01 avril 1968, marié et père de famille Monsieur Daniel Gros-Désirs a toujours été, dès son plus jeune âge, intéressé par l’écriture. Issu d’une famille de 13 enfants, il passe son enfance à Dominante à la campagne.
Ancien Président de l’Association Sportive et Culturelle de Dominante, il est employé à La Banque Postale. Homme discret et réservé, il s’investit dans la vie de la cité et s’occupe particulièrement des jeunes de la communauté. Il est poussé par sa fille qui l’incite à sortir certains manuscrits du tiroir. Il est l’auteur de 3 ouvrages :
- Mon intime conviction
- La démocratie piétinée
- Le courage d’Aimée
D’autres projets de publication sont en cours.
Père de 10 enfants et grand père de neuf petits-enfants, homme simple, discret, originaire de Dominante, ancien musiciens d’Eugène Mona musicien du groupe Héritage Blouzz Pay Kann, Pierre Louis Michalon est un autodidacte.
Sur les hauteurs de Marigot, au lieu-dit La Débite, des habitants se sont mobilisés pour mettre fin aux dépôts sauvages qui envahissent leur paysage. « L’Espace du Courbaril » est un espace naturel aménagé par Pierre Louis Michalon, avec une équipe. Cet espace se situe au pied d’un courbaril, non loin de la départementale CD15.
Monsieur Pierre Louis Michalon agrémente cet aménagement paysagé de plusieurs totems gravés. Ces roches gravées sont un symbole d’amour, d’unité, de respect. Monsieur Michalon est un fervent défenseur de l’environnement, très proche de la nature.
Petit garçon, il découvre le monde insoumis des Amérindiens, alors qu’il aide le Père Pinchon à nettoyer les fragments de poterie ensevelis dans la terre rouge de l’Adoration, lieu où les nègres demandent pardon à Dieu pour leur vie de misère, lieu sacré où il y a deux mille ans les Amérindiens bénissaient leurs Dieux.
Il s’intéresse très tôt au monde des Amérindiens. Vers 17 ans, après une scolarité aux Arts Appliqués de Fort-de-France, il poursuit ses études à l’Ecole des Métiers d’Art de Paris d’où il sort major de sa promotion (1961). Il retourne en 1967 en Martinique où il pratique la peinture.
Aujourd’hui, Victor Anicet continue sa quête de connaissances sur le rôle des amérindiens et consacre sa vie à la recherche de ce passé.