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Le Vieux Clocher au Prêcheur – Crédit Photo: Office de Tourisme du Prêcheur
Clocher carré du XVIIe siècle, construit sur le Morne Danty. D’une hauteur de 12m, il est certainement le plus ancien monument français classé de la Martinique.

Le Vieux Clocher au Prêcheur – Crédit Photo: Office de Tourisme du Prêcheur
Samedi 9 Avril, la SACEM a récompensé notre musique martiniquaise. Sous la présidence d’honneur de Jocelyne Bérouard, les artistes se sont succédés, les prix sont tombés et le spectacle a donné…
Les représentants de la SACEM France M. Budan et M.Lemesle, M. Dereck Wilkies, Président et Directeur de la COSCAP (SACEM Barbade) ont pu apprécier aux côtés de M.Boutan notre identité musicale.
En plus des catégories habituelles, la présence de nouvelles: la catégorie Spirituelle, Moderne Jazz Recherche et Clip. A noter également le retour de la catégorie Musique Instrumentale. Pour agrémenter le tout des prix spéciaux à des artistes de Martinique, de Guyane et de Guadeloupe ainsi qu’à un jeune talent de 12 ans, virtuose du piano. Une révélation de l’année attendue: E.SY Kennenga.
La cérémonie s’est conclu avec un bel hommage à Patrick Saint-Eloi.
Nous avons pu filmer et prendre quelques photos, nous les partagerons avec vous…évidemment!
Voici la liste des lauréats:
Catégorie musique traditionnelle: Kolo Barst
Catégorie Modern Jazz/Recherche : Dolor Ravi
Catégorie Musique instrumentale: Gilles Rosine et Ronald Tulle
Catégorie Musique spirituelle : José Versol
Catégorie Reggae dance hall: Kalash et Lieutenant
Catégorie Zouk: Gilles Voyer et Tony Chasseur titre Mèsii
Catégorie Performance vocale féminine : Goldee
Catégorie Performance vocale masculine : Ralph Thamar
Catégorie auteur: Rosetta Varasse
Catégorie compositeur: Yohann Guglielmetti
Catégorie Clip: Kris Burton
Révélation de l’année : E.Sy Kennenga
Prix spécial Martinique : Ronald Rubinel
Prix spécial Guyane : Henri Placide
Prix spécial Guadeloupe : Guilou
Si les rives de l’Odet vivent depuis une semaine déjà au rythme de la Martinique, ce samedi une délégation importante de la région est arrivée à Bénodet. Yvan Sobesky, Directeur Général du Comité Martiniquais du Tourisme, Jean-Marc Ampigny, Président de la Commission Port à la CCI de Martinique, Luc de Grandmaison, adjoint au Maire de Fort de France en charge du Nautisme, Catherine Cadrot, Directrice de la Maison de la Martinique, Manuel Baudouin, Président de la CCI Martinique et Marie-Lynn Toussaint, Responsable de la Station Nautique ont rejoint le village de la Transat Bénodet du Comité Martiniquais du Tourisme –Martinique.
« Tout au long de cette semaine, nous tenions à avoir à offrir aux visiteurs du village de la course une belle vitrine de notre région pour la faire connaître au plus grand nombre. Rhum agricole AOC, fleurs, carnaval, la yole, Bèlè, festivals et manifestations culturelles, chocolat martiniquais, mizik… Les artisans de l’ « Ilot Fleurs » étaient tous représentés dans le faire découvrir le meilleur de notre production et de nos traditions. Par ailleurs, nous voulions également encourager et soutenir notre skipper, Eric Baray, avant le départ » souligne Karine Roy Camille, Présidente du Comité Martiniquais du Tourisme et marraine du Figaro Bénéteau Ven Dan Vwel 972 baptisé cet après-midi.
Source: Adonnante.com
C’est ce dimanche que le coup d’envoi de la 6ème édition de la transat Bénodet a été donné. Les 17 solitaires ont pris la direction de Fort-de-France.
Les « Figaro Bénéteau 2 » sont entrés en mode course et partagent tous la même analyse météo qui les attend sur les premières heures de course. En la matière, tous les voyants semblent au vert pour une entame idéale.
En effet la météo va servir d’arbitre. Alors qu’aujourd’hui elle est idyllique: soleil radieux, un ciel azuréen et une brise légère, le tableau devrait changer de façon significative d’ici à demain, un vent de Nord Ouest soufflant de 3 à 4 beauforts donnant aux 17 la possibilité de quitter les eaux sud finistériennes au portant, en empruntant une trajectoire directe.
Pour descendre jusqu’en Martinique, les concurrents vont pouvoir bénéficier de bonnes conditions de portant pour la traversée du golfe de Gascogne.Ensuite au passage près du cap Finistere, les vents vont devenir plus forts et la mer délicate, avant de récupérer un alizé Portugais soutenu mais faiblissant. Dans une situation fiable, ce début de course favorisera de bonnes vitesses de progression avant les choix tactiques au large du Portugal.
De nombreuses surprises lors des 15 jours de course sont attendus, les changements de route vont être déterminantes pour la suite de la course avant l’arrivée et tout peut se jouer lors de l’arrivée.
Ces 17 Figaro Bénéteau, des monotypes de 10,10 m de long, sont des bateaux performants mais techniques et physiques. Les premiers concurrents sont attendus à Fort-de-France dans une vingtaine de jours.
Pour suivre la course en direct le site officiel : http://www.transat-benodetmartinique.com
Source: Suite101.fr ; letelegramme.com ; DOMactu.com ;
Cet événement est le lieu de consécration pour les acteurs du Carnaval: groupe à pieds, chars, Bradjak, Carna’belle…chaque catégorie a vu ses lauréats récompensés pour leur créativité, leur dévouement et le travail réalisé.
Les candidates des Mini-reines, Reines mères et Reines du Carnaval de Fort-de-France ont également reçu leur prix. L’association Carnaval Foyal, chaque année, offre des moments de toute beauté, grâce à tous les bénévoles, aux candidates, aux familles et à sa Présidente Mme Josiane Trébeau.
Mme Trébeau a été, d’ailleurs, la Star de la soirée: pour la remercier Mme Roy-Camille lui a remis un certificat « Bâtisseur de Paradis ». Ce certificat est le reflet des efforts fournis pour notre île et ses habitants.
Autant vous dire que la soirée était festive et chargée d’émotions.
M.Alain Alfred en a profité pour rappeler que le Carnaval 2012 se prépare dès la fin du Carême, et que son thème sera « Identité et Créativité ».
Alors pour 2012, bâtissons, tous, le Carnaval de Martinique pour qu’il soit toujours plus festif, plus original et plus éclatant.
Nous avons le plaisir de partager avec vous ce blog: macuisinecreole.fr. Réalisée par une passionnée de cuisine créole, elle partage avec le monde entier sa passion, notre culture culinaire. Un blog intimiste, esthétique aux délicieuses recettes de paradis.
Vous y trouverez aussi bien des cocktails ( des smoothies et des sinobols…) que des plats( du colombo de porc au tartare de lambis…).
Nous vous dirons qu’une chose: Nou anlè sa!
« J’aime! » macuisinecreole.fr
Aujourd’hui le salon du voyage est à Madiana… Et forcément les Bâtisseurs de Paradis sont présents. Un beau salon de 3 jours pour découvrir les offres de notre île et gagner de nombreux cadeaux. Venez nombreux et parlez- en à vos amis.
Départ de Bénodet (Bretagne) le 10 avril 2011, arrivée à Fort-de-France vers le 29 avril.
Le Comité Martiniquais du Tourisme présente un nouvel événement majeur du calendrier nautique.
Le nautisme est un fleuron de l’industrie touristique de la Martinique que nous souhaitons développer. Ainsi, la Martinique accueillera en avril une course exceptionnelle.
Il s’agit de la 6ème édition de cette course, anciennement parrainée par BPE et AG2R. Les premières éditions se sont réalisées sur d’autres parcours (Saint Nazaire-Dakar, Saint Nazaire-Cuba et enfin Belle-Île-en-Mer-Marie-Galante). Des raisons économiques et logistiques ont poussé les organisateurs à modifier le parcours. Aujourd’hui, il est fixé.
Départ de Bénodet en Cornouaill, station Balnéaire de Bretagne du Sud à 15 km de Quimper.
Longue de 3474 milles nautiques, courue sur des monocoques de type Figareau Bénéteau 2, cette course se présente comme le 1er grand rendez-vous incontournable de 2011 pour la classe reine des monotypes. Il s’agit d’une course professionnelle inscrite au Championnat de France.
Les bateaux arriveront à la Martinique par le Sud : Marin, Rocher du Diamant, Trois-Îlets puis Baie de Fort-de-France avec une arrivée sur le front de mer, près du terminal de croisière de la Pointe Simon.
L’organisation pour l’arrivée a commencé, les Bâtisseurs se préparent et seront prêts, les caméras seront tournés vers la Martinique et c’est un excellent événement pour notre tourisme.
Le meilleur accueil sera réservé à ces aventuriers nautiques.
Lire la suite sur: MartiniqueTourisme.com, site officiel du Comité Martiniquais du Tourisme

Les costumes et les bijoux traditionnels
Le costume traditionnel des femmes aux Antilles a toujours été haut en couleurs.
La « Grand’ Robe », toujours réalisée dans un tissus coloré ou brillant, elle était portée avec un jupon et une cape de la même teinte.
» La Douillette« , robe de tous les jours, elle était constituée d’un jupon, d’une robe sérrée à la taille en cotonnade fleurie, à carreaux ou à rayures.
» La Titane« , vêtement porté par les courtisanes de l’époque. Provocante, elles n’hésitaient pas à porter une chemise en dentelle largement échancrée sur la poitrine et découvrant leurs épaules.
» La Cotonnade« , en madras calandée, elle pouvait être en velours ou en satin les jours de fête.
Les coiffes et leurs sigifications :
- Une pointe : coeur à prendre.
- Deux pointes : coeur pris mais vous pouvez tenter votre chance.
- Trois pointes : coeur pris, femme mariée.
- Quatre pointes : mes amours ne se comptent plus.
Vous pourrez admirer toute la beauté des costumes créoles lors des prestations du Grand Ballet de la Martinique
Les Bijoux Créoles
Le bijoux font partie de l’héritage créole depuis le 17ème siècle et sont le métissage des savoir-faire et des techniques africains et européens.
lls portent des noms très symboliques inspirés de l’histoire, de la faune ou de la flore locale : pomme cannelle, « tété négresse », chaîne torsadée, collier gros sirop, chaîne forçat, collier grain d’or, broche « nid de guêpe », collier chou, etc.
Aujourd’hui encore, les femmes antillaises adorent porter leurs plus beaux bijoux lors d’événements familiaux, de soirées ou tout simplement dans la vie de tous les jours.
Source: Comité Martiniquais du Tourisme
Photo : Jean-Guy Covert (vu sur le site imaniye.net)
Né en 1932 à Fort-de-France, Frantz Charles-Denis est fils unique d’une famille aisée. Il apprend très jeune le piano auprès du célèbre musicien Victor Coridun. Quand il part faire ses études en France, sa passion pour la musique et la danse l’anime toujours.
A Paris, il suit les cours de danse de Catherine Dunham, et crée un groupe de danse, Miyo, qui anime durant quelques mois un Club Olympique en Corse puis enchaîne des galas en province.
Francisco découvre le judo qui devient sa passion.
Fortement influencé par la musique cubaine, de retour à Paris il crée en 1950, son propre cabaret, l’Escale, avec le pianiste martiniquais Frank Rosine. Il s’envole ensuite pour une tournée mémorable en France et en Europe.
Il retourne en Martinique en 1955 et monte en 1956 La Paillote, un dancing très populaire séduit par son jeu teinté de musique latine.
Il valorise le tambour dans la musique martiniquaise qui est considéré comme l’instrument des campagnes.
Il anime des conférences sur le rôle du tambour dans la société, part à la rencontre de Ti-Emile à Sainte-Marie, et organise le 1er festival consacré au tambour à Fort-de-France en 1960. Il plonge dans les racines de la tradition martiniquaise, fréquente les lieux les plus reculés de l’île, participe aux rondes de danmyé rythmées par le tambour bèlè.
En 1957, il tourne dans La Mauvaise Graine. Cette même année, il composera deux de ses grands succès, « Fanm Matinik dou » et « Caroline » au Shango, dancing créé avec Frantz Guanel .
En 1958, un nouveau genre musical en compagnie de Marius Cultier et Jack Gil : la biguine latino et la biguine lélé qui marie le tambour traditionnel bèlè à la biguine.
Il s’installe à Porto-Rico pour plus d’un an, où il joue dans des orchestres locaux, avant d’enregistrer un album, puis au Vénézuela, où il sortira deux autres disques.
De retour en Martinique, il ouvre La Plantation, un night-club très prisé où il recevra des célébrités comme Kirk Douglas ou Jean Marais.
Homme aux talents multiples, artiste complet, Francisco s’est fait acteur, champion d’arts martiaux, et responsable du service artistique et culturel de l’agence régionale de développement touristique de la Martinique.
Au long de sa carrière, il a composé plus d’une soixantaine de chansons et a enregistré une quinzaine d’album.
En 2003, Francisco reçoit le grade d’Officier de l’Ordre National du Mérite.
A l’âge de 71 ans, l’artiste ne fait plus que de rares apparitions en public en raison de la maladie qu’il combat depuis plusieurs années.
Francisco est véritablement inscrit dans l’histoire de la musique martiniquaise.
Source: Agaca.net