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« J’aime les combats. J’aime quand on a deux coqs méchants face à face » s’enflamme Bertrand Borderan, le propriétaire du gallodrome de Chère Épice. Spectacle immanquable, les combats de coqs font partie intégrante de la culture martiniquaise. Découvrez l’authentique Pitt, de Bertrand Borderan, patron des lieux qui se fera un plaisir, avec une passion non dissimulée, de commenter la visite et de vous dévoiler l’histoire de cette discipline qu’il pratique depuis son plus jeune âge. Vous pourrez, assister, aussi, à la préparation des coqs, à la pesée pour mieux apprécier une tradition encore vivante, chaque samedi, à partir de 15h00.
L’une des rares rivières pérennes du Robert coule à Fonds Nicolas. On peut y observer de magnifique bassins et cascades accessibles à pied. Des cascades en escaliers et des bassins aux formes curieuses et aux noms évocateurs – kanari, chaudron, mulet – composent ce site spectaculaire localisé dans un quartier jadis habité par les Caraïbes. Ses dimensions les font ressembler à de petites piscines enclavées dans les rochers qu’il faudra sauter de pierre en pierre pour ne pas finir les pieds dans l’eau. Les amoureux de la nature n’y seront pas indifférents. Tous ces bassins et cascades invitent au pique-nique ou pour un arrêt photo.
Ferme de découverte, Ferme pédagogique, Angriya’la, c’est un plaisir pour les adultes et une joie pour les enfants ! Située à Moulin à Vent, le propriétaire de l’exploitation agritouristique Angriya’la vous ouvre les portes et vous accueil à travers les vestiges de cette ancienne habitation cannière qui à laissé la place à d’autres productions dont la Goyave … De la visite guidée ou libre, à la rencontre des animaux, au travail sur le terrain, à la dégustation des produits de saison, ces animations vous mettront au contact de la terre et de la nature pour le plus grand bonheur de tous.
Duchesne, le deuxième plus haut sommet, est l’un des points de vue apprécié, au Robert, par les amoureux de la nature. Ce sommet de 313 mètres d’altitude facilement accessible via une route pentue mène jusqu’au château d’eau où vous aurez des perspectives formidables. Arrivé en haut, vous jouirez d’un panorama exceptionnel sur la baie. S’il fait beau, vous apercevrez au loin les îlets. Vous y découvrirez également une grande variété de plantes et de fruits, qui particularisent la Martinique.
Avec la Baie du Robert plonger dans le rêve. Véritable amphithéâtre tourné vers la mer, la façade maritime formée de deux pointes vallonnées, Pointe Savane, au nord et Pointe Larose, au sud ; occupe le fond d’une baie de 8 kilomètres de long et 5 kilomètres de large, protégée par une constellation de 10 îlets aux formes variées et aux noms évocateurs que sont les îlets : Petit Vincent, Petite Martinique, aux Rats, à Eau, Chancel, de la Grotte, Petit Piton, Boisseau, Loup-Garou, Madame. Vous l’avez bien compris, la nature offre richesse et diversité au Robert dont l’un des produits touristiques suit la grande ligne de partage que nous pouvons symboliser par un concept coloré, le Bleu.
La Maison du Bèlè a vu le jour à Sainte-Marie en février 2003. Ses objectifs sont d’honorer les anciens, les mettre en relation avec le reste de la population martiniquaise et étrangère, et d’immortaliser la tradition bèlè pour que les générations futures la partagent. Elle présente une exposition permanente intitulée « Bélya Bèlè a » qui accueille différents bèlè. La Maison du Bèlè intervient à plusieurs niveaux : le maintien de la tradition par la transmission du savoir (stages, ateliers, cours, spectacles…), les résidences croisées avec des artistes de musiques traditionnelles venus d’ailleurs, la diffusion du bèlè par le biais de tournées dans la Caraïbe et en Europe, puis dans le reste du monde. Depuis 7 ans, elle accueille des croisiéristes.
Se situant au quartier Fonds Saint-Jacques, FARIBA est née en 1989, de la volonté et du savoir-faire familial d’une équipe d’agriculteurs. Ses principales activités sont la transformation et la commercialisation des produits agricoles de La Martinique. Ainsi, la société gérée par Luc Quiatol commercialise sous diverses formes la banane (farine de banane, banane séchée, jus de banane, farine pour crêpe, etc) et le manioc (farine de manioc, kassav prêt à cuire). Mais également des sirops (navet, cresson, pied bèf, groseille au sirop, sirop de canne…), des huiles (avocat, coco…), toloman, piment confit … Des produits inspirés de pratiques ancestrales sans colorant ni conservateurs chimiques qui étonnent par leur originalité et qui surprennent quant à leur efficacité. Il accueille des groupes de touristes et locaux, transmet son savoir faire et ses connaissances sur les propriétés médicinales des différents produits.
Le Tombolo, la flèche de sable qui relie la plage du bourg à l’îlet Sainte-Marie figure parmi les lieux les plus visités à Sainte-Marie. Pendant le carême, lorsqu’il est à sec, des milliers de visiteurs (touristes et résidents) empruntent le Tombolo pour visiter l’îlet qui bénéficie de travaux d’aménagement. L’office de tourisme et de la culture de Sainte-Marie met à profit l’ouverture du phénomène pour organiser la manifestation intitulée « A la rencontre du Tombolo et de l’îlet Sainte-Marie ». La première édition a été couronnée de succès ce qui autorise l’organisme à reproduire l’évènement. Tout comme le Tombolo, l’îlet Sainte-Marie qui est par ailleurs l’emblème de la ville fait la fierté de toute la population samaritaine.
Considérant que trop de personnes ignorent la réalité du métier d’agriculteur, n’ont pas conscience des efforts déployés pour travailler la terre et surtout n’ont pas idée de tous les trésors cachés dans la nature, Bambou et Roro Bellance qui figurent parmi les gardiens de la tradition, ont crée en 1999 l’Habitation Roro. Sur le site qui se trouve au quartier Pérou, le visiteur peut découvrir dans les champs une grande diversité de cultures et de plantes médicinales. De toutes les visites naissent de fructueux échanges. En effet, le couple avoue ne pas garder de secrets car pour eux la transmission du savoir aux adultes et aux plus jeunes est essentielle. Ils estiment qu’il est fondamental que le Martiniquais s’approprie à nouveau les richesses de son environnement et que la relève soit assurée. C’est l’une des raisons d’exister de l’Habitation Roro.