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Nicole, Marie-Aline, Raphaël, Patrick et Denis JEAN-ALPHONSE
Cette famille depuis des décennies procède au ravalement de façade de sa maison, qui est sans nul doute l’une des plus anciennes du bourg de la commune étant située à proximité immédiate de l’église, classée monument historique.
Elle apparaît d’ailleurs sur toutes les vues de la commune.

Maison de la Famille Jean-Alphonse (Anses d’Arlet) – Crédit Photo: Office de Tourisme des Anses d’Arlet
Située au pied du Morne Jacqueline à Petite Anse, la source ferrugineuse, classée «patrimoine protégé», proviendrait d’un réservoir profond dont la température serait de l’ordre de 180°. C’est une des émergences les plus importantes de l’île.
L’eau qui soignerait dit-on les rhumatismes, est canalisée depuis la nuit des temps. Elle se déverse dans un petit bassin construit à l’époque par deux frères habitants du quartier. Le fer se remarque immédiatement par la couleur orange qui entoure le bassin.
Ce bassin a été remis en état en 2013 par la Municipalité avec le « coup de main » des bénévoles de l’association «Ti Tans an Action». Le chemin d’accès et la table d’orientation ont été réalisés avec le concours de l’Office National des Forêts (ONF).
Tous ceux qui découvrent ou retournent à cette source en sont toujours ravis et émerveillés par le panorama offert.
Cette jeune femme dynamique et accueillante est la créatrice du Domaine DIAM’ARLET, espace naturel de 14 hectares, situé au quartier Palmiste aux Anses d’Arlet, à mi-chemin entre le Diamant et les Anses d’Arlet.
Originaire de Fort de France, elle a eu en 2002, un coup de cœur pour cette terre arlésienne au départ entièrement boisée. Elle a su la métamorphoser en un lieu unique et surprenant où tout est pensé pour s’amuser en groupe et se livrer à diverses activités ludiques, dans un environnement préservé et valorisé.

Plaque commémorative Rue du 12 janvier 1762 (Anses d’Arlet) – Crédit Photo: Office de Tourisme des Anses d’Arlet
En Janvier 1762, les Anglais envahissent la Martinique qu’ils occuperont jusqu’en 1763.
Ils débarquent aux Anses d’Arlet dans le but de se débarasser du fortin de l’Ilet à Ramiers qui leur ouvrirait l’accès à Fort Royal.
Du 12 au 15 janvier, un violent affrontement opposant Français et Anglais a été emporté par l’armée française, grâce à l’intervention héroïque des esclaves.
Après une lourde perte de 1400 à 1600 hommes, les troupes Anglaises incendient le bourg des Anses d’Arlet et son église.
Les esclaves ont été remerciés de leur action décisive qui a permis de chasser les Anglais.
Certains d’entre eux reçurent la liberté immédiate.
Cette plaque a été inaugurée le 22 mai 2008, par Eugène Larcher, Maire et Conseiller Général et son Conseil Municipal.
Revenu en Martinique après des études financières en France, il s’installe en tant qu’exploitant agricole sur les hauteurs du quartier Cocoyer au Morne Bigot.
Le terrain sur lequel il lance son exploitation il en a hérité de par ses origines arlésiennes. Marié et père de deux enfants, ce chef d’entreprise a tenu à garder toute l’authenticité d’un patrimoine naturel.
Ainsi, en 2007, il implante une structure agritouristique composée de petits chalets en bois et d’une auberge de style colonial pour y recevoir des manifestations de qualité.
Elle sera inaugurée en présence du Président du Conseil Général de l’époque, Monsieur Claude LISE et du Maire, Monsieur Eugène LARCHER. Cette réalisation sera saluée et félicitée par plusieurs cabinets d’audits mondialement connu et est mentionnée comme l’exemple à suivre.
Restaurateur et animateur central du quartier de Petite Anse dont le snack « Chez Frédo » est un pilier de la vie locale, Frédo n’est plus à présenter pour les Arlésiens !
Depuis plus de 20 ans, « Chez Frédo » est le lieu incontournable et accueillant de tous ceux qui recherchent un endroit où l’on peut bien manger, écouter de la musique en concert live, rencontrer des gens qui ont envie de se détendre autour de quelques blagues.
Tous les Arlésiens, les Martiniquais de passage et les vacanciers métropolitains aussi, savent où se retrouver.
D’inspiration baroque, elle fut inaugurée en 1829. la charpente apparente qui évoque la coque renversée d’un navire a été refaite en 1983 par les Compagnons de France. Elle est classée Monument Historique et est régulièrement ouverte au public lors des Journées du Patrimoine de la DRAC.
Le 08 avril 1830 un navire négrier clandestin jetant l’ancre à l’Anse Cafard est victime d’une houle extrêmement violente qui se brise contre les récifs.
En hommage à ce naufrage, le Mémorial du Cap 110 de l’artiste Laurent VALERE fut édifié en 1998 à l’occasion du 150ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage. Animation le 22 mai et 1er novembre entre autres.
Le doyen de la scène artistique du Diamant. Seul joueur du « Bwa ronflé ». Il a fait connaître cet instrument singulier et « en voie de disparition » à un public large, antillais, caribéen, européen, japonais aux côtés de Roland Brival dans la troupe « Bwabwa » dans les années 90. Aujourd’hui, il se produit au sein du groupe Bwa Mabi, ici et là.
La baie du Diamant offre aux visiteurs un spectacle majestueux. Une émeraude dans un écrin bleu: Le Rocher du Diamant, nommé par les Anglais « Diamond Rock » rappelle par sa forme les multiples facettes de la pierre précieuse. Il culmine à 175 mètres.
Chaque année en juin, l’Office de Tourisme du Diamant commémore la fin de la guerre franco-britannique dont le Rocher fut l’enjeu.