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C’est un jardin créole sauvage. C’est-à-dire que nous plantons n’importe quoi, n’importe comment pour rester dans le cadre tout en faisant attention.
Le petit jardin est composé de plantes fleuries, d’arbre fruitier ici et là ainsi qu’une petite plantation vivrière.
Pour bien visiter notre jardin il faut compter 1h à 2 heures.
Le but de cette visite est une visite d’échange c’est-à-dire les gens peuvent nous apporter des idées.
Nous avons aussi des gîtes dans un cadre accueillant.
Gros-Mornaise à 100% âgée de 55 ans Mme Balmy a jusqu’en 1993 exercée une double activité (salariée du privé et exploitante agricole). Depuis 1993 elle est exploitante agricole fait de l’élevage de volaille et des produits maraichers. Actuellement elle met en place une plantation de cacao et de caymite. Sportive, elle dirige un club cycliste, est aussi arbitre et organise un semi-marathon par an.
Havre de paix et de culture authentique, lieu d’expression et de production. A Lakou trankil, le bèlè se vit, se développe et surtout, s’apprend. Car oui il s’agit bien d’une culture d’échanges. Pour les fans de danse et les profanes. On y danse, on y vit, on y peint …. Et on y vit le bèlè , moment de tradition purement martiniquaise dans un cadre original et convivial.
C’est en 1908 que le Baron Daniel de Sommery décide de mettre à profit la culture de l’ananas en installant à Desnel une conserverie. Depuis cette date, Gros-Morne, commune essentiellement rurale située à 22 km de Fort-de-France, est le berceau de l’usine ROYAL. En 1932, est créée l’Ancienne Compagnie Antillaise (A.C.A.) par Monsieur Robert Huyghues Despointes. De cette période jusqu’en 1986, ROYAL mobilise toutes ses capacités pour traiter plus de 5000 tonnes d’ananas par an. L’implication de tous les habitants du Gros-Morne est totale. Dès 1950, les premiers essais de diversification sont tentés : outre les ananas en tranches, des nectars de fruits et des confitures à base de fruits tropicaux (ananas, goyave, abricot-pays, tamarin) sont mis en boîte. Ces produits séduisent le consommateur et ROYAL devient rapidement leader sur le marché martiniquais.
Je suis née au Gros-Morne il y a 63 ans. J’ai été bercée, depuis mon enfance ans le milieu commercial, culturel et de la vente car mon père était propriétaire d’un Pitt (arène de combat de coq) et de chevaux qui animait certaines fêtes patronales bien connues.
J’ai quitté ma commune en 1976 pour suivre mon époux à Fort-de-France ou j’ai exercé la profession d’aide à domicile au CCAS de la ville.
Voila plus de trente ans que je suis revenue dans ma commune. Ce retour m’a permis de retrouver mon domaine : le contact des gens à travers diverses associations de la commune, de la vente de mes friandises, de mes glaces à la croisée de mon quartier (les deux-terres) et surtout le contact des visiteurs de notre île à travers les informations et les conseils que je leur donne.
L’Habitation Saint-Etienne se situe sur la commune du Gros-Morne, au centre de la Martinique sur la route de Saint Joseph. La première habitation sucrière est créée ici au début du XIXème siècle sur un domaine de plus de 400ha ! Elle est ensuite transformée en distillerie en 1882… La production se poursuit pendant plus d’un siècle avant de péricliter à la fin des années 80. Le domaine est ensuite racheté par Yves et José Hayot en 1994. Les nouveaux propriétaires entreprennent alors un long travail de réhabilitation et relancent la marque Saint Etienne.
Sully Cally né de la ruralité, personnage original très modeste ayant la soif de connaître et de voyager, est un artiste complet : comédien, écrivain, musicien, producteur, danseur, chanteur, sportif animateur de radio et de soirées culturelles. Sully est un homme aux milles facettes, véritables défenseur de la tradition et de la culture. Il mène en parallèle une autre activité fondamentale en rééditant, sous le label « Collection Patrimoine » des disques de musiques traditionnelles en faisant revivre des catalogues de musiques oubliés. Sully Cally fait partie de cette catégorie d’individus qui savent se battre pour défendre bec et ongles certaines valeurs rattachées au folklore et au patrimoine. Sully poursuit inlassablement des recherches pour nous restituer tous les éléments qui constituent notre patrimoine musical
Originaire de la Commune du Gros-Morne à la Martinique où il est né en 1956, commune souvent appelée « le grenier de la Martinique », Fernand Marlu est séduit par Dédé Saint-Prix, Eugène Mona et Max Cilla, tous trois flûtistes dont la renommée s’est installée au-delà des océans.
Nourrit de cette musique du terroir, Fernand fait son entrée dans l’industrie musicale Antillaise, vers 1980.
Fervent défenseur du patrimoine culturel de nos îles, Fernand a formé un groupe essentiellement composé de musiciens usant d’instruments traditionnels, tambours, chacha, …
Une formation qui a pour but d’exporter notre héritage au delà des frontières.
Selon l’avis de Pipo, Fernand est l’un des meilleurs Flûtistes » Bambou » de la Martinique et même de la Caraïbe. Azipip