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C’est à la famille Ragald de donner ses lettres de noblesse à la fabrication de farine de manioc de la manière traditionnelle toute l’année.
Cette famille sur plusieurs générations maitrise toutes les étapes en commençant par la plantation du manioc puis les différentes de la fabrication de la farine de manioc (épluchage, râpage, pressage, cuisson).
En plus d’une farine de très bonne qualité, Vous y découvrirez non seulement la fameuse cassave, sorte de galette longtemps utilisé à la Martinique, mais également les gâteaux de moussache, un autre dérivé du manioc.
TI JO SOUDURE, de son vrai nom Joseph ZELELA, est le seul artisan en Martinique dans ce domaine. Il réalise à la demande toute sorte d’outils de jardinage, de barbecues, de balcons, de broyeurs à canne à partir de feuille d’acier.
Il abandonne son métier d’ouvrier agricole en 1983 pour travailler avec son père qui exerçait les professions de chaudronnier et de maréchal –ferrant.
Agé de 51ans il est en contact avec de nombreux agriculteurs de l’ile pour qui il réalise : fourches, crocs, griffes, serfouettes, houes, pioches, binettes, râteaux dans son atelier situé au quartier Carabin à coté de l’école.
Il aime parler de son métier et prend plaisir à recevoir des groupes de touristes ou de visiteurs pour des visites guidées dans son atelier en déguster un bon jus de canne ou de l’eau de coco.
Sans publicité, grâce à la qualité de son travail et au bouche à oreille TI JO a réussi à se forger une très belle réputation.
Le moulin de sirop de batterie est situé au quartier Morne Bois.
Sous la houlette de la famille Jouan se perpétue une tradition ancestrale de broyage de la canne et de cuisson du jus en résultant pour en extraire le meilleur sirop de Batterie du département.
Sa composition est unique et transmise avec le secret de père en fils.
La visite du moulin permet de découvrir les différentes étapes de sa fabrication : De la récolte de la canne, du broyage traditionnelle avec les mulets en passant par l’extraction du jus pour arriver à la cuisson.
Fille d’agriculteurs et de fabricants de farine de Manioc, elle était une très bonne animatrice commerciale qui présentait les produits martiniquais dans les Super Marchés. Après réflexion elle pense qu’elle pourrait aussi promouvoir et vendre ses propres produits.
Elle abandonne son métier pour s’occuper de l’entreprise familiale : la case à farine des RAGALD. Seule fille avec ses frères, elle améliore l’atelier et se lance dans la culture du manioc, et la fabrication de farine de Manioc et de dérivés.
Bercée depuis toute petite dans le Manioc, maintenant avec la passion qu’on lui connait elle plante, cultive, récolte, fabrique et vend ses produits dans toute la Martinique.
Elle travaille et contribue à mettre en place une vraie filière « MANIOC » en Martinique.
Ce fameux poilu et son ange gardien restaurés en 1992 est classé monument historique.
Par ces couleurs, le monument aux morts, caractérisé par un poilu se confiant à son ange gardien, a été refait en 1993 dans le respect de l’œuvre initiale, nettement influencé par l’art naïf.
C’est une vraie curiosité car le poilu qui s’y trouve est un noir.
Exploitant agricole, producteur de banane. Il a aménagé une partie de l’exploitation pour faire du tourisme intégré. Vous pouvez visitez la rivière et y prendre un bain.
Véritable amoureux de sa terre, de la nature et des produits du terroir, il met en place une table d’hôte où vous dégusterez les mets traditionnels dans l’authenticité. La cuisson se fait au feu de bois ou de charbon de bois et le service s’effectue dans des « couis » en calebasse.
L’église du Lorrain, édifiée en 1687 est détruite par plusieurs cyclones, rebâtie en 1840, et à nouveau détruite par le cyclone de 1891, elle est significative d’un genre architectural nouveau, caractéristique du XIX siècle, de type rectangulaire.
Le plan du bâtiment est en croix latine. Le clocher, composé de quatre cloches, reconstruit en 1881 rompt avec cette homogénéité en marquant par sa taille réduite et l’utilisation du bois dans un souci d’adaptation aux conditions locales.
Fermée pour travaux durant dix ans, elle a été reconstruite et restituée aux fidèles en décembre 2012. Classée à l’inventaire des monuments historique elle est actuellement un lieu de culte qui suscite l’intérêt des visiteurs.
Enseignant retraité, natif et habitant du Lorrain depuis toujours.
Membre actif de l’ex OTL (office de Tourisme du Lorrain de 2007 à 2013). Membre de la nouvelle structure appelée à lui succéder (LORITOUR).
Passionné d’Histoire de la Martinique et de sa commune il a écrit quelques textes sur le Lorrain d’autrefois, ses activités économiques, son histoire, quelques évènements qui ont marqué celle-ci.
Contribue à faire découvrir et connaître sa ville par des visites guidées.