You are currently browsing the monthly archive for mars 2015.

Point de vue de Duchesne (Robert) - Crédit Photo: Micha

Point de vue de Duchesne (Robert) – Crédit Photo: Micha

Duchesne, le deuxième plus haut sommet, est l’un des points de vue apprécié, au Robert, par les amoureux de la nature. Ce sommet de 313 mètres d’altitude facilement accessible via une route pentue mène jusqu’au château d’eau où vous aurez des perspectives formidables. Arrivé en haut, vous jouirez d’un panorama exceptionnel sur la baie. S’il fait beau, vous apercevrez au loin les îlets. Vous y découvrirez également une grande variété de plantes et de fruits, qui particularisent la Martinique.

Publicité
Jean-Philippe Marthély (Robert) - Crédit Photo: Micha

Jean-Philippe Marthély (Robert) – Crédit Photo: Micha

J’M le Robert. Ce n’est pas du Pipo, Boudoum !

« Pipo, prophète en son pays », cinq mots qui sonnent comme un slogan.

Ambianceur né, Jean-Philippe Marthély, alias Pipo, s’affirme comme le thérapeute incontesté de toute pathologie en administrant à tout patient le seul médicament, le Zouk, pour se sentir « au poil de carotte ».

Des années de succès aux côtés du célèbre groupe caribéen « Kassav » il a endossé le rôle d’ambassadeur en promouvant la Musique martiniquaise avec énergie et vivacité.

Artiste créole, volcanique, sismique et cyclonique , les cinq continents ont succombé à son assaut incendiaire au point de criyé pompier !

La singularité de Jean-Philippe est d’évoquer des sujet sociaux sous un aspect léger mais pétri de sensualité.

Jean-Philippe Marthély (Robert) - Crédit Photo: Micha

Jean-Philippe Marthély (Robert) – Crédit Photo: Micha

Baie du Robert (Robert) - Crédit Photo: Micha

Baie du Robert (Robert) – Crédit Photo: Micha

Avec la Baie du Robert plonger dans le rêve. Véritable amphithéâtre tourné vers la mer, la façade maritime formée de deux pointes vallonnées, Pointe Savane, au nord et Pointe Larose, au sud ; occupe le fond d’une baie de 8 kilomètres de long et 5 kilomètres de large, protégée par une constellation de 10 îlets aux formes variées et aux noms évocateurs que sont les îlets : Petit Vincent, Petite Martinique, aux Rats, à Eau, Chancel, de la Grotte, Petit Piton, Boisseau, Loup-Garou, Madame. Vous l’avez bien compris, la nature offre richesse et diversité au Robert dont l’un des produits touristiques suit la grande ligne de partage que nous pouvons symboliser par un concept coloré, le Bleu.

Régine Joseph-Mathurin (Robert) - Crédit Photo: Micha

Régine Joseph-Mathurin (Robert) – Crédit Photo: Micha

Le Robert, je la valorise savoureusement. Sé tété dwet !

Avec la gamme Sérénade des Saveurs, Régine nous offre des produits locaux de qualité qui réveilleront la douce émotion d’antan qui saute au palais ! Comme on dit chez nous « an tété dwet ». Grâce à cette appellation, Sérénades des Saveurs, mais aussi à un positionnement, les recettes d’autrefois, cette gamme de produits contient une proportion élevée de purée de fruit. Ainsi, le nectar de prune de cythère mure, la goyave au sirop léger, les piments doux confits sont en passe de faire bénéficier, à la marque, une notoriété exceptionnelle.

Mais Régine entend aller plus loin dans sa transformation des produits locaux. Elle prévoit des surprises avec de nouvelles saveurs à découvrir.

La Maison du Bélè (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

La Maison du Bélè (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

La Maison du Bèlè a vu le jour à Sainte-Marie en février 2003. Ses objectifs sont d’honorer les anciens, les mettre en relation avec le reste de la population martiniquaise et étrangère, et d’immortaliser la tradition bèlè pour que les générations futures la partagent. Elle présente une exposition permanente intitulée « Bélya Bèlè a » qui accueille différents bèlè. La Maison du Bèlè intervient à plusieurs niveaux : le maintien de la tradition par la transmission du savoir (stages, ateliers, cours, spectacles…), les résidences croisées avec des artistes de musiques traditionnelles venus d’ailleurs, la diffusion du bèlè par le biais de tournées dans la Caraïbe et en Europe, puis dans le reste du monde. Depuis 7 ans, elle accueille des croisiéristes.

La Maison du Bèlè (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

La Maison du Bèlè (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

Viviane Sébastien (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

Viviane Sébastien (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

Issue d’une famille dont la mère et la grand-mère ont été vannières, c’est tout naturellement que Viviane Sébastien âgée de 63 ans pratique cet art ancestral depuis l’âge de 10 ans. Bien que retraitée, elle fait perdurer cette tradition en proposant bénévolement ses services à la vannerie du Morne des Esses. Dans cet atelier, elle reçoit des touristes ou autres groupes locaux. Avec une grande disponibilité, elle fait des démonstrations et initiations à l’adresse de ce public qui comprend aussi des scolaires. Viviane Sébastien met tout en œuvre pour transmettre son savoir et nombreux sont ceux qui se tournent vers elle pour connaître les subtilités de l’art vannier.

Fariba (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

Fariba (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

Se situant au quartier Fonds Saint-Jacques, FARIBA est née en 1989, de la volonté et du savoir-faire familial d’une équipe d’agriculteurs. Ses principales activités sont la transformation et la commercialisation des produits agricoles de La Martinique. Ainsi, la société gérée par Luc Quiatol commercialise sous diverses formes la banane (farine de banane, banane séchée, jus de banane, farine pour crêpe, etc) et le manioc (farine de manioc, kassav prêt à cuire). Mais également des sirops (navet, cresson, pied bèf, groseille au sirop, sirop de canne…), des huiles (avocat, coco…), toloman, piment confit … Des produits inspirés de pratiques ancestrales sans colorant ni conservateurs chimiques qui étonnent par leur originalité et qui surprennent quant à leur efficacité. Il accueille des groupes de touristes et locaux, transmet son savoir faire et ses connaissances sur les propriétés médicinales des différents produits.

Julien Phesso (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

Julien Phesso (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

Le Samaritain qui réside au quartier Villeneuve cultive une passion : celle de la miniature. De ses doigts habiles naissent des objets et reproductions de monuments historiques qui soulèvent l’admiration. Le « chouval bwa », le taxi pays, la Grande Roue, La tour Eiffel, l’église Notre Dame de l’Assomption de Sainte-Marie… Julien Phesso a occupé plusieurs métiers (ouvrier à l’usine Saint-James, opérateur projectionniste au cinéma de Sainte-Marie, plombier). Mais c’est à la mairie de la commune qu’il prit sa retraite après avoir été chauffeur. A 79 ans, il est inscrit dans le guide du routard et son local est visité régulièrement par des touristes de toute origine. Il réalise encore des œuvres dont certaines sont exposées à l’Osatourc.

Le Tombolo (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

Le Tombolo (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

Le Tombolo, la flèche de sable qui relie la plage du bourg à l’îlet Sainte-Marie figure parmi les lieux les plus visités à Sainte-Marie. Pendant le carême, lorsqu’il est à sec, des milliers de visiteurs (touristes et résidents) empruntent le Tombolo pour visiter l’îlet qui bénéficie de travaux d’aménagement. L’office de tourisme et de la culture de Sainte-Marie met à profit l’ouverture du phénomène pour organiser la manifestation intitulée « A la rencontre du Tombolo et de l’îlet Sainte-Marie ». La première édition a été couronnée de succès ce qui autorise l’organisme à reproduire l’évènement. Tout comme le Tombolo, l’îlet Sainte-Marie qui est par ailleurs l’emblème de la ville fait la fierté de toute la population samaritaine.

Jeanne Dessart (Sainte-Marie) - Crédit Photo: Micha

Jeanne Dessart (Sainte-Marie) – Crédit Photo: Micha

A 87 ans, Jeanne Dessart est une ancienne couturière pour qui la confection de la robe de grand-mère n’a aucun secret. Avec dextérité, elle réalise également la tête calendée exécutée sur des poupées et bien d’autres productions encore. C’est à l’école qu’elle a commencé à coudre. Une activité qui ne lui était pas étrangère car sa mère et sa sœur maniaient déjà en sa présence le fil et l’aiguille. Etant motivée par l’envie de faire des vêtements, elle a continué son parcours à la Chambre des métiers où elle a reçu les diplômes de CAP et de BEP. Son rêve était d’enseigner mais elle n’a pas pu concrétiser ce désir par manque de poste. Aujourd’hui, Jeanne Dessart poursuit son activité avec autant de passion en permettant à tout un chacun de découvrir ou redécouvrir ce pan du patrimoine martiniquais qu’est le costume traditionnel, notamment lors des actions de l’Osatourc.

Entrer votre adresse e-mail pour vous inscrire à ce blog et recevoir les notifications des nouveaux articles par courriel.

Rejoignez les 4 843 autres abonnés

Instagram!

Il n’y a ici aucune image Instagram.

Edito

Installé en décembre 2003, le CMT est un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC) ayant pour mission de faire de la Martinique une destination touristique recherchée et prospère.

Notre Page Facebook



Bientôt : 1 semaine, 1 commune

mars 2015
L M M J V S D
 1
2345678
9101112131415
16171819202122
23242526272829
3031  
%d blogueurs aiment cette page :